De retour dans ce carnet après un silence de plus d’un an, j’ai constaté avec un certain étonnement qu’il avait été consulté plus de 3 000 fois au cours des derniers mois, malgré son absence de nouveautés. Je m’y remets donc, promis. Pour relancer ce qui demeurera Correspondances insulaires, j’ai choisi, avec une certaine paresse, de diffuser à nouveau l’article le plus lu depuis sa création. Merci aux corneilles et aux corbeaux pour leur force d’attraction.
Sur ce, voici donc à nouveau : Confusion urbaine sur les corneilles et les corbeaux

Ça, c'est une corneille.
Il y a quelques jours, pendant un passage matinal à l’enclos canin du Parc Lafond, un son strident s’est élevé au-dessus des têtes des maîtres et maîtresses de chiens urbains rassemblés sous un arbre pour échapper à la pluie. «Regardez, c’est un corbeau!», a lancé une dame. Je n’ai pu résister à la corriger en l’informant que l’oiseau noir en question était une corneille.
J’avais, en plus, trois bonnes raisons d’affirmer une telle chose avec aplomb. Lire la suite