Et oui, elles continuent nos rondes de bacs verts à la recherche de milles aériens. Cette fois, au bénéfice de Médecins sans forntières. Petites récoltes malheureusement depuis quelques semaines. Seulement 45 milles ce matin. Mais quel rigolade m’a offert Saku au retour de notre petite marche matinale.
Il y avait, dans ce maigre mutin, un emballage de barres tendres dans lequel, si j’ai bien compris la suite, il restait quelques grenailles d’avoine ou de raisin. Saku, ayant flairé le festin possible, a attendu que je sois bien installée à mon ordinateur pour aller y voir de plus près. Résultat? Il s’est littéralement mis la tête dans le sac et s’y est retrouvé ligoté, littéralement. Comme toujours dans ces cas, Saku implore mon aide. Il sait qu’en ces matières, les humaines sont clairement plus forts que les chiens.
J’ai opté pour couper la gance de mon sac de ronde de bac, non sans avoir, au préalable, immortalisé le regard de pitou piteux de mon fidèle chien urbain pris au piège de sa gourmandise.