Fouine de BAC


Près d’un mois maintenant de silence dans ce carnet. Non pas qu’il n’y ait eu rien à dire et à montrer… Que non! C’est que je suis intensément occupée et nourrie d’un contrat qui me plonge avec ravissement dans la découverte de trésors qui témoignent du rayonnement exceptionnel d’une très grande oeuvre de la dramaturgie québécoise. D’un texte qui a beaucoup voyagé et dont les traces me font faire, à leur manière, un tour du monde. D’une pièce dont le point de départ a d’étranges parentés avec ma quête – toujours en cours – de milles Aéroplan récoltés dans les bacs verts… Même que ce sont mes talents de fouine de BAC qui m’ont valu cette belle mission dont je ne vous révélerai aucun détail, sauf cette image.

Le mystère sera révélé. Plus tard.

Tout en vous laissant spéculer sur ce que je mijote au sein d’une joyeuse petite bande de recycleurs de culture, je reprends en ce 21 novembre le clavier pour quelques retours dans le passé simple et antérieur.  Car il s’en est passé des choses depuis le pavage de la 9e avenue, à Rosemont. Même que Saku et moi, dans nos marches quotidiennes, avons fait une autre découverte stupéfiante : Montréal, ces jours-ci, a des airs de Berlin !

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