Janvier 2009 bientôt au recyclage. L’aventure continue.


Que d’aventures depuis le 31 janvier 2008. Que de mots dans ce carnet. Que de silences, à observer ma cour arrière, les indices de milles Tropicana dans les bacs verts de Rosemont, à réfléchir à la suite de mes périples professionnnels, à goûter les mouvements d’ombres et de lumières dans les montagne du désert et à épier les signes de changement chez nos Voisins dans les oasis de la Vallée de la mort et puis, à reprendre le cours du travail dans le froid montréalais.

Février? Je vous annonce et m’engage à vous livrer une Trilogie Panamintéenne dont les titres et sujets seront :

Roy, mon homme du désert.

Birds ans stars of death dans la Vallée de la Mort.

Darwin ou Il sera une fois l’Amérique?

Je me propose aussi de commettre un  lexique-précis-dictionnaire terminologique de la gestion des déchets à Montréal – pour mes lecteurs européens et hors 514 qui ne comprennent que dale  – et Dieu sait que je les comprends – aux bacs verts, aux sacs bleus et aux principes de 4R québécois.

Le défi Cap sur 25 0o0 milles Aéroplan se poursuivra, avec des rebondissements que je ne peux même imaginer.

Et, par les résultats de ce projet ou autrement, j’irai à Terre-Neuve et je serai sur Signal Hill le 1er avril, le soixantième anniversaire du jour où les NWEFIE sont devenus Canadiens. J’avais écrit que je serais dans Death Valley le 20 janvier pour le jour Un de la présidence de Barak Obama? Les sceptiques ont été confondus. J’y étais. Donc, vous aurez des billets depuis St.John’s le 1er avril et ce ne sera pas un poisson. Il paraît qu’il n’y en a plus là-bas.

Février? Je lance demain un autre aventure WEB 2.0. Jacinthe Tremblay et fille, une minuscule entreprise familiale vouée à assurer notre subsistance et à venir en aide à l’humanité souffrante en quête d’identité. Je vous invite donc à visiter le site  www.notesbiographiques.blogspot.com Plus ouvertement professionnel et mercantile que Cap sur 25 000 milles Aéroplan. J’expérience encore pilote. Mais j’ai espoir que le 1er mars 2009, lorsque les produits de ces deux portes ouvertes sur le monde passeront à leur tour aux archives, j’aurai encore mieux compris et profité – je l’avoue- des grandeurs des communautés virtuelles.

Février? J’ai quelques autres façons de payer mes factures et j’y travaille aussi.

Jacinthe

3 réflexions sur “Janvier 2009 bientôt au recyclage. L’aventure continue.

  1. Je viens d’en apprendre une pas pire.
    Sur mon dernier relevé Aéroplan, un document officiel remontant trois ans en arrière, j’avais quelque 68 000 points d’accumulés. À trois reprises, j’ai tenté d’utiliser ces « miles » pour voyager. Mais chaque fois, on m’a répondu que ce n’était pas possible, le nombre de sièges réservés aux bénéficiaires du bonheur Aéroplan étant complet. Donc, j’ai laissé tomber. J’ai continué à utiliser Air Canada ou United plusieurs fois par année, mais j’ai omis d’en aviser les fonctionnaires d’Aéroplan. Et eux, n’ayant plus de nouvelles de moi, ils m’ont puni. C’est ce que j’ai appris tout à l’heure.
    À la fin de l’été de 2007, pendant mon déménagement, ils ont remis les compteurs à zéro. Disparus les 68 000 quelques points ! Volatilisés ! Zappés !
    Voici la dernière partie de ma conversation téléphonique :
    – Ça n’a pas d’allure, ce que vous avez fait là !
    – Monsieur c’est un système de fidélisation !
    – Ah !
    – …
    – Fait que vous m’avez cru, euh, non fidèle ?
    – On n’avait plus de vos nouvelles.
    – Donc, pshouiit ! Partis les Air Miles !
    – Les Aéroplans !
    – Euh oui, les points Aéroplans !
    – C’est ça !
    – Merci, monsieur, je suppose que ça ne me donne rien de vous crier des noms, vous n’êtes qu’un préposé au téléphone en plein dimanche après-midi.
    – C’est ça, mais je peux comprendre votre frustration.
    – Merci de votre empathie.
    – Merci d’avoir contacté Aéroplan, etc., etc., etc.
    Je sais que je suis con, mais il y a quand même des limites à profiter de mes étourderies, non ?

  2. Neuveterre09, c’est Jacinthe Tremblay

    C’est pour nous venger, nous les honnêtes consommateurs fidèles, que j’ai concocté ce projet de réunir 25 000 milles Aéroplan en les prenant dans des bacs de recyclage. Pas besoin d’acheter de jus Tropicana, d’avoir une carte de crédit ou d’acheter son essence ou son papier de toilette dans un commerce partenaire, ni même de voyager avec Air Canada pour en accumuler.

    Ces milles sont à nous, livrés en pâture aux centres de tri qui ont ont tiré des sous en les transformant en carton recyclé cher mais qui risquent fort de les mettre au dépotoir parce le cours du carton à recycler a chuté comme la valeur de nos fonds de traite.

    Ces milles, ils sont jetés sur les trottoirs par des gens qui ont payé ce jus plus cher que les marques maison aux saveurs et propriétés identiques parce que généralement pressés dans les mêmes usines.

    En combinant la marche du chien urbain – et au risque calculé de passer pour une itinérante -, j’en ai accumulé plus de 9 000, GRATIS. Je sais qu’ils rient de nous. Qu’ils nous prennent pour des cons (voir le billet Vers 10 000 milles, Gordon Ramsay…). Et qu’il faut se presser pour les échanger. Car, c’est certain, ce sera, comme l’écrit si bien Nelson Dumais : PSHOUIT! Partis les Airs Miles. – Les Aéroplans!

  3. Pingback: Lexique : Aéroplan, introduction « Cap sur 25000 milles Aéroplan

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